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LE TREPORT ET SES GENS DE MER AUX XVII ET XVIII SIECLES Dany Laurent Issu d'une vieille famille tréportaise et passionné d'histoire dés sa plus tendre enfance, Dany Laurent (titulaire d'une maîtrise d'histoire moderne et enseignant) est membre fondateur de l'association « Les Enfants du Vieux Tréport » (en 1983) qui a créé et gère le Musée du Vieux Tréport (depuis 1985). Partisan de la préservation mais également de l'animation du patrimoine, il a contribué à la création (en1992) de la fédération régionale oeuvrant pour la sauvegarde et l'animation du patrimoine maritime et fluvial: la fédération M.A.N.C.H.E. - Normandie qu'il a d'ailleurs présidée de 1998 à 2005.Ses recherches ont, dés les années 1980, trouvé leur écho dans l'organisation de fêtes historiques et dans ses nombreuses activités bénévoles (expositions, conférences...) au sein de l'Association et du Musée du Vieux Tréport. Avec son père, il est à l'origine de la création des rassemblements de vieux gréements et d'exposants au Tréport (depuis 2000). Par la publication de ce travail universitaire, l'auteur développe une démarche en plusieurs points novatrice. L'étude de cette localité portuaire sous l'Ancien Régime est abordée sous l'angle global de ses infrastructures mais surtout de sa population (avec une proportion étonnante de gens de mer) et de ses mentalités. Cette étude démographique, réalisée à partir de plus de 16 000 actes paroissiaux (baptêmes, mariages et sépultures) des XVIIe et XVIIIe siècles dépouillés par l'auteur dès les années 1980, équivaut à reconstituer l'arbre généalogique, non pas d'une famille, mais de la population d'une ville entière, des plus illustres aux plus modestes de ses membres. Cela nous permet de découvrir et comprendre - sous un jour complètement nouveau - l'histoire du Tréport et de développer certains aspects (natalité et nuptialité) de la vie d'une population côtière sur le littoral
français aux XVIIe et XVIIIe siècles. L'auteur publie également de nombreux documents inédits. C'est aussi la première fois qu'un port de Haute-Normandie fait l'objet d'une étude démographique avant la Révolution. Pour touts renseignements, vous pouvez prendre contact avec L'Association "LES ENFANTS DU VIEUX TREPORT" Musé du Tréport
1, rue de l'Anguainerie - ( Ancienne Prison)
76470 LE TREPORT |
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Mille-trente-six ! Le jeune duc de Normandie
Guillaume le Bâtard conduit la destinée de la province.
Trente ans plus tard, il la mènera à la conquête de l'Angleterre. Mille-trente-six ! Son cousin Robert, deuxième comte d'Eu, fonde avec sa femme Béatrix, l'abbaye Saint-Michel du Tréport. À l'image de leur aïeul, Richard Sans Peur, premier duc de Normandie, qui rétablissait dès neuf-cent-soixante-six l'abbaye du Mont-Saint-Michel. Ainsi, de Bresle en Couesnon, « la duché » est sous la protection du grand archange Saint Michel, prince de la cour céleste. Commencent alors mille ans d'histoire... Renseignements :
Tréport Presse
37 quai François 1er
76470 Le TREPORT |
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Présentation :
Lourie ne connaît pas le passé d'Hélène. Jusqu'à ce que, devenue adulte, elle la convainque de lui raconter.
Son histoire transporte du sanatorium de Zuydcoote pendant la guerre 14-18, au milieu des horreurs de la première guerre mondiale, au Tréport. Elle fait découvrir la ville des années 30, et en décrit l'ambiance tranquille, avant de plonger dans la tragédie qu'elle connaît durant la seconde guerre mondiale. D'abandon en adoption, d'amour déçu en amour brisé, Hélène connaît une succession de bonheurs et d'évènements tragiques ou cruels.
Le Tréport est le point de convergence des principaux personnages et faits.
Hélène a quatre vingt dix ans, quand elle livre un secret, la clé du lien mystérieux qui l'unit à Lourie ? |
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Rien de plus charmant et de plus instructif que ce Guide du voyageur concernant la ville d'Eu et celle du Tréport.
Peut-être avons-nous aujourd'hui perdu le secret de ce talent narratif des grands chroniqueurs du XIXe siècle qui s'accommodaient fort bien des exigences...
Rien de plus charmant et de plus instructif que ce Guide du voyageur concernant la ville d'Eu et celle du Tréport. Peut-être avons-nous aujourd'hui perdu le secret de ce talent narratif des grands chroniqueurs du XIXe siècle qui s'accommodaient fort bien des exigences de la recherche historique, sans, pour autant, succomber à la pesanteur didactique. C'est ainsi que Désiré Lebeuf nous fait découvrir les localités précitées : Eu, « ville maritime, qui dut être considérable », qui « s'enrichit par l'industrie » dès le XIIe siècle, « ayant uni à la couronne des comtes la lance des paladins » ; et Le Tréport, dont « la rade est la meilleure de toutes celles qui l'avoisinent » et où l'on trouve « des maisons qui ont d'assez beaux jardins, décorés de vestiges d'anciennes fortifications ».
Distillant le savoir au fil des pages à travers des évocations prenantes, illustrations à l'appui, l'auteur nous fait pénétrer à sa suite dans le célèbre château d'Eu où nous admirons la salle des aides de camp, le cabinet du prince royal, le cabinet de Christine (de Suède), les chambres à côté de la chapelle, différents salons, les antichambres du roi, le boudoir de la reine...
Sans oublier, naturellement, les jardins (superficie de 46 hectares), où Mlle de Montpensier fit planter des ormes d'après des dessins de Le Nôtre et où les allées les plus belles sont l'allée des Prêtres et l'allée solitaire qui conduit à la Lanterne, pavillon bâti par Mademoiselle. Promenade en ville, où l'on voit « des hôtels vastes et bien bâtis », et visite indispensable aussi à l'ancienne collégiale de Notre-Dame (XIIIe siècle), au collège, à l'hôtel-Dieu (XVIIe) et à la chapelle de Saint-Laurent sur la côte. |
Quant au Tréport, qui s'est constitué autour de l'abbaye de Saint-Michel fondée au XIe siècle, dont la destinée fut longtemps liée à celle d'Eu et où l'on vit, « dès l'an 859, des hommes du Nord errer le long des côtes », il accueille de nombreux visiteurs, sensibles au charme pittoresque de la vieille ville, à la beauté de son site et à toutes ses séductions estivales. © Micberth |
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L'ouvrage que nous présentons ici est une réédition de « Ce qu'il faut voir à Tréport, Mers, Eu et leurs environs », guide spécial au pays eudois et tréportais, tel qu'il fut publié en 1900.
Les auteurs, Jules Périn et Paul Cagé, n'avaient pas la prétention de rédiger une histoire complète des « Trois villes soeurs », mais simplement de donner l'origine des monuments, d'expliquer les noms de rues, de révéler le passé des lieux pittoresques, de faire revivre les personnages célèbres, enfants de la région.
Ainsi Le Tréport, l'un des ports les plus considérables de la Manche au XIIIe siècle. Ainsi Mers, dont le village primitif disparut dans les flots avec la falaise, en 1370. Ainsi Eu, place importante à l'époque gallo-romaine, véritable capitale au XIe siècle, à l'industrie et au commerce prospères trois siècles plus tard..Rédigé à l'intention des « visiteurs de l'été (..) pour les diriger dans leurs excursions », ce livre concerne également les habitants de toute la région, qui revivront avec plaisir le passé de leurs ancêtres et retrouveront les traces de monuments aujourd'hui disparus. © Micberth |
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